Ça faisait longtemps que je n’avais pas écrit sur ce sujet : que faire quand on est addicted à de multiples réseaux sociaux ^o^ Ou plutôt : que faire lorsqu’on veut être efficace.
Le silence et la paix
« Efficace » et « réseaux sociaux » semblent contradictoires. Les centaines de notifications qui émaillent la journée vont à l’encontre de la concentration. C’est pourquoi, se couper des réseaux pour bien avancer est vivifiant, toute la journée, toute la nuit, voire des jours, ou une longue période. Ça fait du bien de ne pas être sans cesse sollicité, laisser sa vie privée être privée, et au revoir les trolls anonymes ^o^;
Le Japonais uploade avant même que le serveur n’ait posé le plat
Et puis, il y a eu les sorties avec des Tôkyôïtes qui… dans l’échelle d’addiction aux réseaux, dépassent tout entendement. Au restaurant, à peine le temps de voir arriver le serveur, remarquer du coin de l’oeil qu’ils ont leur smartphone dans la main, que déjà des photos de leur plat étaient déjà sur facebook. Et de belles photos en plus, bien cadrées, commentées, géolocalisées, bref rien d’oublié. C’est aussi le cas lors d’événements, expos, spectacles, etc. Pour autant, ils sont si rapides qu’il y a tout le loisir de discuter ensemble et de cavaler vers d’autres activités, et ils s’amusent tellement à partager leurs bonnes adresses et bons souvenirs qu’ils m’ont fait retomber dedans !
La Française qui twittait en bord de mer sans regarder la mer
Bien sûr, chaque réseau a ses spécificités, alors hors de question d’activer les re-partages automatiques inter-réseaux. WordPress vers twitter : lien sans image. Instagram vers facebook : impossible de déplacer les images. Twitter vers facebook : même les retweets passent. Facebook vers twitter : mais qui va cliquer pour voir la suite d’un statut tronqué ? Bref, il faut tout faire à la main, c’est plus joli de voir une image et sa légende dans un flux, accessoirement dans un algorithme comme celui de facebook ça priorise son affichage aussi. Mais voilà, par un splendide temps lors d’une balade exceptionnelle en mer émeraude, je vois une amie persévérer à poster sur instagram, facebook et twitter ses photos à peine prises. Et donc regarder principalement son smartphone en marchant. Ça m’a redonné une claque dans l’autre sens.
L’informaticien qui programmait ses articles
Depuis déjà longtemps, un ami me prônait les bienfaits de sites et apps qui, à mes yeux, industrialisaient ce qu’il émettait vers le web. Aujourd’hui, je le vois autrement : des apps qui permettent de se libérer des tâches répétitives. C’est bien l’avantage d’automatiser. Et donc j’ai fini par m’en remettre à ifttt ^o^ Si vous me suivez sur un des réseaux, vous avez pu voir que j’ai un peu tâtonné quant à la source de l’automatisation ^^; Au début, je partais sur instagram, qui re-partageait sur tous les autres. C’était un choix un peu par défaut car instagram ne prend rien en entrée. Mais j’étais bien embêtée car j’aime que tout soit rangé dans les bonnes catégories dans WordPress, dans les bons albums sur facebook. Et il y a eu le réseau de trop : avec l’ouverture de ma chaîne YouTube, les triggers n’étaient plus du tout adaptés ^o^! J’en suis désormais à ce que j’aurais dû faire dès le début : écrire tranquillement sur mon blog, dans la bonne catégorie et avec les bons tags, qui sert de source aux re-partages vers les autres réseaux, et ce jusqu’à Google+, enfin *o* Ça va beaucoup mieux ainsi ^__^ D’ailleurs, même si les blogs semblent dépassés, je crois que ça reste important de toujours avoir son propre site.
One reply to “IFTTT : IF trop de réseaux THEN automatiser”
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